La
cueillette des champignons
Un
dimanche du mois de septembre, mon mari et moi d'aller faire
un tour dans les bois. Nous garons la voiture dans un petit
chemin, on entend des coups de fusil, la chasse a ouvert
ce week end et plus on va, plus on s'approche de la zone
de chasse.
Cela commence a être dangereux, on decide de retouner
vers notre véhicule, et tant pis pour les cèpes.
Après plus d'une heure de marche, on n'arrive pas
a se repérer, j'ai la nette impression que l'on s'est
égaré.
On commence a s'inquiéter, impossible de se repérer.Nous
sommes en nage, il est plus de 14 h et on est toujours dans
les bois.
Je suis est fatiguée, mon tee-shirt est trempe ainsi
que mon caleçon qui me colle sur les jambes. A un
moment, ils nous semblent entendre des sons de voix.
Nous essayons de localiser en nous dirigeant vers eux. Effectivement
on aperçoit une vielle grange a la lisiere d'un bois.
On s'approche, content de trouver quelqu'un pour nous indiquer
le chemin. Lors que les hommes nous voient, ils arretent
leurs bavardages et nous regardent avancer vers eux. Nous
les saluons et nous leur expliquons notre mésaventure.
Ils nous proposent un casse croute. Après avoir savouré
un bon morceau d'entrecôte, je me leve de table pour
renouer ma veste qui s'était défaîte.
L'homme a côté de moi, voyant que je suis toute
transpirante me propose de prendre une douche. En effet
un petit cabanon de fortune se trouve a coté de la
grange.
4 panneaux de bois tout autour protegent la vue. Au début
je refuse, puis sous l'insistance de l'ensemble de l'assemblée,
mon mari compris, je finis par accepter.
Après quelques minutes, j'entends les hommes féliciter
mon mari sur le choix de sa compagne. En plaisantant, mon
mari rentre dans leur jeu en leur disant que la chasse au
poil est ouverte, et que je ne risque rien parce qu'on en
avait enlevé une bonne partie le matin même.
Aussitôt, ils voulaient tous voir, leur état
d'ivresse ne faisant qu'empirer leur excitation. L'un d'eux
se leve, se tourne vers mon mari et lui dit "Attends
tu vas voir, on va rire"
Il part a petits pas vers la cabane a douche, s'approche,
et d'un geste rapide retire mon caleçon (avec sa
culotte qui était a l'intérieur) qui reposait
sur le haut de la paroi en bois. Je lui demande aussitôt
de ramener mes habits. L'homme me dit " venez les chercher.
.." et ses accolytes s'exclaffaient et en choeur, en
m'encourageant a venir récupérer mes habits.
Quelques minutes s'écoulent et je commence a m'énerver
en leur disant que la plaisanterie avait assez durée.
Voyant que les hommes étaient décidés
a ne pas lacher, mon mari me dit d'aller les chercher, en
tirant sur mon tee-shirt. Après quelques insistance,
je finis par céder.
Je sors du cabanon en tirant le plus possible vers le bas
mon tee-shirt. Une main devant, une main derriere. Je m'approche
lentement vers le chasseur qui se trouvait prés de
ses pôtes sous la grange. Arrivé a quelques
centimetre, l'homme qui tient le pantalon a bout de bras
me dit "attrapes !"
Je suis obligée de lacher mon tee-shirt, je choisis
la main qui tirait sur l'arriere du polo. Au moment ou j'allais
l'attraper, l'homme recule d'un pas. Je râle, et m'approche
de nouveau. L'homme recule encore.
Les autres éclataient de rire et encourageaient leur
copain. Au bout de trois fois, je me retrouve au centre
des tables qui sont placées en L. Voyant que ça
commence a dégénérer, mon mari veut
se lever pour me venir en aide et pour récupérer
mes vêtements. C'est alors que mes deux voisins l'empoignent
par chaque bras et le font rassoir sur le banc. Il réagit
en se débattant, mais les deuix hommes sont costauds
et lui disent de les laisser s'amuser un peu. Pendant ce
temps, l'homme qui me chahutait (un gros moustachu mal rasé)
m'avait ceinturé par derriere de ces deux bras. Dans
la bousculade, j'ai laché prise et mon tee-shirt
était remonté en laissant voir ma petite touffe
et la boursouflure de mon sexe.
Tous les hommes applaudissent. Le moustachu m'ordonne de
leur montrer davantage ma touffe rasée de prés.
Je serre les cuisses en me débattant. Narrivant pas
me calmer, il passe ses mains sous mon tee-shirt et empoigne
mes seins à pleine mains.
Il me dit "Si tu ne te calmes pas, je te les écrases"
et "montres nous ta chatte !" Mon mari cherche
encore a se relever, en les suppliant d'arrêter. 4
hommes se levent, le maintiennent, alors qu'un 4eme le ligote
sur le banc avec une cordelette en nylon.
Il se retrouve les avant bras et les cuisses ligotés
sur le banc. Maintenant, je suis a leur merci. Le moustachu
se tient toujours derriere moi, baillonne de sa main gauche
ma bouche, alors que de la main droite est descendue au
niveau de mon pubis. Les autre lui crient :"écartes,
faut nous voir !" ce qu'il s'empresse de faire aussitôt.
Avec son index et son majeur, et écarte les mèvres
en me faisant pivoter pour que tout le tour de la table
puisse voir. Il m'approche vers le banc, en présenrtant
ma chatte bien ouverte. Un jeune rouquin avance sa main
et fait pénetrer son doigt en le remuant dans tous
les sens.
Il dit : "Mais elle est mouillée, elle aime
ça !"
Je sens que certains hommes commençent a être
mal à l'aise, ils essaient de temporiser certains
de leurs copains ! Apré sune breve discution, 8 hommes
s'en vont en leurs disant qu'ils sont fous, et laissent
les 5 autres auprès moi.
Il faut dire qu'ils étaient particulierement émêchés.
Après qu'ils aient démarrer avec leurs véhicules,
ils me disent :' Si tu es mouillée c'est que tu aimes
ça, non ! ' Je leur demande une eunième fois
de me laisser. Ils n'entendent rien, et au contraire, le
moustachu m'approche de la table est m'allonge sur le dos.
L'un deux coupe un morceau de la cordelette qui m tient
prisonnier mon mari, et alors que ses copains me maintienne
les bras et les jambes écartées, ils m'attache
solidement a la table.
D'un coup d'opinel il découpe le tee-shirt (que j'avais
toujours sur moi) en laissant uniquement mes seins découvert.
Un vieux sans dents, attrape les bouts de mes seins, les
tire en les vrillant et dit
"C'est vrai qu'elle aime ça, ils sont tout dures
ces tétons !"( en effet mes tétons étaient
bien dressés )
Les cinq hommes sont affairés autour de moi, ils
me touchent partout, me caresse, promenent leur doigts dans
mon intimité en plaisantant sur les attouchements
qu'ils font.
Le vieux s'acharne sur mes seins, il les pétrie,
les empoigne a pleines mains en les écrasant, tire
sur les tétons en les secouant violemment.
Je ne disais plus rien, je subissais. Ma chatte est effectivement
toute luisante, deux hommes la triturent, enfoncent leurs
doigts sales. Le plus vieux, un gros bedonant, écarte
mes petites lèvres avec ses deux pouces et me leche
la chatte en salivant et aspirant bruyamment.
Le gros moustachu, tout en pinçant mes mamelons me
dit
"Tu aimes bien que l'on te malmene hein ?" Je
lui répond que non.
Il me répete en serrant plus fort "Dis que tu
aimes bien que l'on te malmene. Je lui répond toujours
'non'
Il pince mes tétons encore plus fort et les tire
vers le hauts, en allongeant mes seins de plusieurs centimetres.
Je pousse un cri de douleur, et l'homme me répete
' Avoues que tu aimes ! ' en tirant de plus en plus.
Je finis par lacher un petit "oui".
'Alors, tu vas être gatée,', il dit a un de
ses potes ' vas chercher ma boite a pêche dans le
coffre de ma voiture ! ' Quelques secondes plus tard, son
copain revient, en marchant un peu de travers, avec la malette,
et la pose sur la table. Le gros bedonnant est toujours
concentré sur ma minette qui dégouline de
salive. Avec son accolite, ils s'exclaffe en introduissant
les uns après les autres, les couverts en inox qui
trainent sur la table.
Une dizaine de couteaux sont plantés, avec la lame
qui dépasse. Ils continuent avec les fourchettes,
et chaque fois ma chatte s'écarte un peu plus. Ils
ne peuvent rajouter que 5 fourchettes, a la sixieme, je
leur ai supplié d'arrêter. Le vieux en me disant
"c'est bon on arrete" malaxe les couverts entre
ses deux paumes de mains.
Les couverts remuent dans tous les sens, il attrape a pleines
mains les dents des fourchettes et les serre fortement.
Ceci, a pour effet d'écarter les manches qui sont
bien enfoncés dans me sexe .
Je pousse un cri de douleur qui le fait relacher. Le vieux
retire brusquement les ustensiles. Ils sont tous les 5 en
admiration devant mon sexe beant.
Le moustachu ouvre sa malette et en retire du fil de pêche
et la boite a hameçon. Les 4 hommes observent leur
copain qui dénoue le fil en nylon. Il s'approche
de moi, fait un noeud autour du mamelon et le serre fortement.
Il tire un coup sec pour vérifier si celui ci tient
bien.
Je pousse un petit cri. Il me dit : "Attends, je m'occupe
de l'autre !"
Il fait un autre noeud un peu plus loin et attache l'autre
téton. Il attrape par le milieu le bout de fil et
tire sur les deux seins, les tétons se déforment
et se congestionnent par la pression du noeud qui se resserre
! Je gémit de douleur, et les hommes s'amusent à
chacun leur tour a tirer sur le bout de fil qui étire
démesuremment mes deux seins. Le moustachu attache
un autre bout de fil au milieu du fil qui tient les tétons,
le passe au dessus de la poutre, et en tenant le bout, il
dit au rouquin: "Va me chercher les cables a batteries
dans mon coffre !"
Aussitôt dit aussitôt fait, le rouquin lui amene
un câble de batterie muni d'une pince crocodile a
chaque bout.
Il attache le bout du fil a la pince et approche celle ci
lentement a l'entrée de mon sexe. Il titille doucement
mes petites lèvres avec le métal froid, et
aprée avoir ouvert largement les machoires, il fait
pénétrer une branche de la machoire profondemment
dans mon vagin. Je me tortille sur la table, sentant que
quelque chose allait se passer.
Les hommes me maintiennent plus fermement, en ricanant.
Le moustachu me pose la main sur la bouche, et commence
a relacher les mords de la pince.
L'effet est immediat, je me contracte, les mords pénètrent
doucement dans la chair tendre. Il lache completement la
pince. J'essaie de crier, mais la main de l'homme m'en empeche.
La pression de la pince m'écrase le clitoris, les
hommes sont hilares.La douleur est intense !!
Le moustachu enleve sa main, et s'empresse de me bailloner
avec un des serviette de table Il me dit :
- "Pour le moment c'est le plus dur, mais tu vas voir
tu vas aimer !"
Effectivement, je semble se calmer, du moins il me semble
m'habituer à la douleur ! Après quelques petites
minutes, le moustachu attape le fil qui passe sur la poutre,
et le tend doucement. La tension du fil provoque l'étirement
de mes seins et remonte la pince vers le haut en étirant
les chairs a vif. Je réagit a chaque tension que
l'homme excerce sur le fil.
Il tire de plus en plus fort,mes seins sont étirés
de plusieurs centimetres, les tétons sont déformés
et la pince et presque verticale dans mon sexe. Je transpire,
alors que les hommes s'exclaffent de rire, en palpant la
peau fine de ses seins qui est tendue outrageusement.
Le moustachu attrape l'autre pince, la frotte sur une plaque
de beurre qui était restée sur la table, ouvre
les mords fait pénétrer un mords dans mon
anus et l'autre dans mon vagin déjà occupé
par la premiere pince .Je me contracte, l'homme relache
les mords encore une fois. La pince me déforme et
m'arrache littéralement le sexe. Voyant que je souffre
trop, il enleve la deuxieme pince.
Durant plusieurs minutes ils jouent chacun leur tour avec
le fil en nylon.
Le moustachu, me dit : "C'est bien, on va te délivrer
de tes liens !"
Il retire lentement la pince crocodile de mon sexe rougeoyant
et coupe le fil nylon.
Il laisse l'autre fil attaché au tétons. Il
dit a ses copains, Détachez là et tenais la
bien ! Ils me détachent et me font remettre debout.
Au dessus de moi, il y a une poutre sur laquelle passe le
fil en nylon. Le moustachu m' attache les poignets avec
la cordelette et me suspend les bras en l'air a la poutre
.
J'ai toujours la serviette dans la bouche qui l'empêche
de crier. Un des hommes m' arrache mon tee schirt a moitié
découpé, et me carresse les seins dont les
tétons sont toujours noué par le fil.
Le moustachu m' écarte le jambes, approche sa malette
prés de lui, et attrape la boite d'hameçons
!!!
Je n'en crois pas mes yeux, est il capable d'en arriver
là ?
Il me dit "tu vas voir, je suis amateur de pêche
au vif... "
Il demande a deux des hommes de me tenir les jambes, et
avec ses deux pouces, il écarte largement mon sexe.
Les deux petites lèvres apparaissent.
De sa main droite, avec son pouce et son index, il attrape
une petite lèvre et l'étire de façon
a l'allonger. Une fois bien étirée il attrape
un hameçon de 8 et d'un coup sec, il tranperce la
fine chair. J'ai sursautée. Il fait pareil a l'autre
petite lèvre, et ensuite attache a chaque hameçon
un petit bout de fil nylon. Il s'empare des grappins en
plomb, et les attache a l'autre bout du fil.
Ils pesent au moins 200 grammes. Il prend ensuite les deux
grappins et les met dans sa paume de main pour les soutenir.
Il me dit,"retiens ton souffle ma chérie, tu
vas voir, tu vas aimer !!"
Les hommes sont en admiration et attendent avec impatience
l'effet qui va en résulter. Le moustachu descend
doucement les deux poids, le fil commence a se tendre, les
hameçon commence a tirer sur mes petites lèvres.
Lentement, il descend, mes levres se tendent de plus en
plus, j' essaie de me débattre, mais a chacun de
mes mouvements le fil se tend et me tire violemment sur
mon sexe. Le moustachu descend completement sa main, les
deux plombs pendent au bout du fil, mes petites lèvres
sont distendues de 3 a 4 centimetres. Les hommes rient a
pleins poumons.
L'un deux d'un coup de main fait tourniquer les poids qui
s'entrechoquent en malmenant la chair étirée
au maximum. Le moustachu se releve et attrape les fils réliés
à mes tétons,les attache de la même
manière avec deux autres grappins. Là, il
les lache avec moins de précaution. Mes deux seins
sont littéralement déforméés
et distendus par les deux poids que les hommes s'amusent
a balancer. Je transpire, mon corps et tout mouillé,
j'ai l'impression qu'ils m'arrachent mes sens et mes petites
lèvres !
La douleur est insupportable ! Le moustachu s'approche de
moi, m'embrasse a pleine bouche, me caresse en prenant bien
soin de passer ses mains sur mes seins tendus a l'extreme.
Il me dit, ' je vais te délivrer, mais avant tu dois
être gentille avec nous ! Il approche un banc, monte
dessus et descend son pantalon. Il sort un membre énorme
et tendu.
Il me dit "Maintenant suces moi a fond ! et ne mord
pas sinon on t'arrache ce que tu sais !!!"
 |
Il
enfourne sa grosse queue dans ma bouche.
J
essaie de m'appliquer au mieux en aspirant de toutes
mes forces, et en enfournant sa queue au plus profond.
L'homme apprécie, il effectue des vas et vients
de plus en plus rapide, les poids prennent de plus
en plus de mouvement en étirant mes chairs
fines.
Tout
d'un coup, il se retire et éjacule sur mon
visage en me criant"Ouvres la bouche".
Tour
a tour, j'ai dû sucer les 5 hommes, et me faire
éjaculer dans la bouche.
J'ai le visage plein de sperme. Les hommes semblent
être appaisés. Ils commencent a me détacher,
coupent les fils et défond les noeuds.
|
Le
moustachu m'attrape par les épaules et me bascule
sur le dos contre la table.
Il me dit "Je vais te sortir les hameçons !"
Il mécarte les jambes, avec deux doigts ouvre mon
sexe dont les petites lèvres pendent, comme une crête
de dindon.
Il s'empare d'une pince coupante dans sa malette et sectionne
les deux hameçons.
 |
Ensuite il tire d'un coup sec les hameçon sans
déchirer les chairs en feux. Je reste hébétée,
ils m'ont enlevé le baillon, et m'emmene a
la douche.
Ils me savonnent a plusieurs, passent leur doigts
dans tous les trous.
Ensuite,
les hommes m'ont baisés chacun leur tour, et
je dois avouer que j'ai pris mon pied!!.
|
Quelques
minutes après, nous revenons tous les cinq,
je vais vers mon mari et m'effondre en pleurant.
Il
me dit de me calmer, que c'est fini.
Je lui répond :"Je dois t'avouer, j'ai
pris mon pied, j'ai mal mais je suis éxcitée,
je suis folle !!"
Les
hommes rigolent en me disant qu'ils en étaient
sur !! Ils
détachent mon mari, qui ne peut rien dire,
car j'ai apprécié. !!!...
Je
me suis ensuite rhabillée, les hommes nous
ont ramené comme convenu, et arrivé
à la maison mon mari m'appliqué longuement
du Mixa bébé sur mes parties enflammées
puis nous avons fait l'amour comme jamais. |
|
Depuis,
nous espèrons qu'une autre aventure se reproduise,
mais cete histoire vécue a plus d'un an et nous n'avons
jamais pu recommencer d'autres expériences. Pourtant,
nous prenons des risques sciemment, dans les parkings d'autoroutes,
sur la plage, dans les bois encore, mais rien ne se passe
!!! |